Titre : |
pourri (Le) : roman : |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Emmanuel Ostian, Auteur |
Editeur : |
Grenoble : Glénat |
Année de publication : |
2012 |
Collection : |
Hommes et montagnes |
Importance : |
182 p. |
Format : |
23 cm |
ISBN/ISSN/EAN : |
978-2-7234-8776-4 |
Prix : |
15,95 EUR |
Langues : |
Français (fre) |
Mots-clés : |
Montagne |
Index. décimale : |
843 |
Résumé : |
Conte poétique aux personnages truculents, réflexion sur la nostalgie qui tient les sentiments en vie, ''Le Pourri'' est un chemin d'amitié en pente raide. Un homme va se trouver, l'autre se perdre. Les deux gagnent la lumière. Jean Vialat, vieux professeur rentré dans ses montagnes après avoir connu une gloire urbaine, part un beau matin vers le Pourri, sa montagne fétiche. L'Etat, qui sait que ce contestataire présumé est aimé du peuple, envoie une militaire à ses trousses pour veiller à sa sécurité. Très vite, le jeune capitaine Efflisch, cornac involontaire de cette course qui le dépasse, va s'attacher au vieux poète. Il tombe en amitié à mesure que le sommet se rapproche et que Jean, retrouvant les fantômes de sa jeunesse, lui parle de la fin.
Sur le chemin, Vialat a laissé quelques lettres - comme autant de petits cailloux blancs - à son amoureuse, Léa ... |
pourri (Le) : roman : [texte imprimé] / Emmanuel Ostian, Auteur . - Grenoble : Glénat, 2012 . - 182 p. ; 23 cm. - ( Hommes et montagnes) . ISBN : 978-2-7234-8776-4 : 15,95 EUR Langues : Français ( fre)
Mots-clés : |
Montagne |
Index. décimale : |
843 |
Résumé : |
Conte poétique aux personnages truculents, réflexion sur la nostalgie qui tient les sentiments en vie, ''Le Pourri'' est un chemin d'amitié en pente raide. Un homme va se trouver, l'autre se perdre. Les deux gagnent la lumière. Jean Vialat, vieux professeur rentré dans ses montagnes après avoir connu une gloire urbaine, part un beau matin vers le Pourri, sa montagne fétiche. L'Etat, qui sait que ce contestataire présumé est aimé du peuple, envoie une militaire à ses trousses pour veiller à sa sécurité. Très vite, le jeune capitaine Efflisch, cornac involontaire de cette course qui le dépasse, va s'attacher au vieux poète. Il tombe en amitié à mesure que le sommet se rapproche et que Jean, retrouvant les fantômes de sa jeunesse, lui parle de la fin.
Sur le chemin, Vialat a laissé quelques lettres - comme autant de petits cailloux blancs - à son amoureuse, Léa ... |
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